Chers amis,
Concernant les effets secondaires à long terme des injections anti-Covid, on commence à peine à soulever, prudemment, le couvercle.
Le problème, c’est que l’on a pour le moment encore peu de moyen de connaître le contenu de la boîte… ni sa profondeur.
Je m’attends, ces prochains mois (et même ces prochaines années) à assister à une multiplication d’études portant sur ces sujets.
C’est une recherche nécessaire, même si les médias conventionnels prennent bien soin de ne pas ébruiter ces études, lesquelles contredisent régulièrement la propagande que ces mêmes médias ont complaisamment relayé pendant plus d’un an de campagne vaccinale.
Or, c’est précisément l’une des « garanties » majeures concernant le produit de Pfizer/BioNTech qui a été, voilà quelques semaines, contredite par des chercheurs suédois.
L’ADN humain bel et bien modifié par Pfizer
Cette étude dont je vais vous parler est, de très loin, la plus inquiétante de toutes celles sur lesquelles je suis tombé jusqu’à présent.
Pourquoi ? Parce qu’elle confirme, expérimentalement, ce sur quoi plusieurs scientifiques comme le Pr Luc Montagnier avaient alerté, à savoir que l’ARN de ces vaccins serait susceptible d’altérer l’ADN, par un phénomène connu sous le nom de transcriptase inverse.
Les auteurs de l’étude ont exposé, in vitro, des cellules de foie humain à BNT162b2 – qui est le nom « technique » du produit de Pfizer-BioNTech.
Et non seulement ils ont observé la retranscription, dans l’ADN de ces cellules humaines, de l’ARN de BNT162b2… mais ce phénomène s’est produit six heures seulement après l’exposition au produit[1].
Un « possible mécanisme » expliquant cette retranscription serait, suite à l’exposition au Pfizer-BioNTech, l’élévation observée de l’activité de LINE-1, des éléments de notre ADN dont la fonction est justement de déplacer, de supprimer ou… d’ajouter des éléments de code.
Il faut prendre cette étude avec prudence, car ses résultats demandent à être confirmés par d’autres travaux, d’autant plus qu’elle n’a été menée, je le rappelle, que sur des cellules in vitro.
Mais si ses résultats sont confirmés, cela signifie que quelques heures seulement après l’injection du produit Pfizer/BioNTech, son ARN est retranscrit en ADN dans notre corps.
Quelles implications pour notre santé ?
Quelles que soient les conséquences à terme de cette « inscription » dans notre ADN de l’ARN de Pfizer-BioNTech, il faut d’abord convenir que tous les discours de type « ne soyez pas inquiets, l’ARN de ces produits n’altère pas l’ADN humain » étaient faux.
Étaient-ils délibérément mensongers ?
Ou bien est-ce une fois encore la démonstration que les industriels de Pfizer-BioNTech – puis derrière eux les gouvernements – ont joué les apprentis sorciers ?
Je vous laisse vous faire votre opinion.
Cette étude, en tous cas, menée sur des cellules de foie humain, jette une nouvelle lumière sur les cas d’hépatites auto-immunes constatées après une injection anti-Covid[2].
Ces hépatites ne seraient donc pas le fruit du hasard, mais la possible conséquence de la retranscriptase inverse du matériel génétique des vaccins à ARN messager en ADN par les cellules du foie… comme l’ont observé in vitro les chercheurs suédois.
Vers des « Spike » chroniques ?
Le médecin cardiologue américain Peter McCullough voit, dans cette étude suédoise, les « implications massives de changements chromosomaux »[3].
Car, maintenant que cette découverte a été effectuée, on ne peut que supputer sur ce qu’elle implique.
Le Dr McCullough voit deux scénarios :
- cela pourrait conduire l’ADN des patients injectés avec Pfizer-BioNTech à produire, de manière continue mais légère, des protéines spike – ce qui pourrait provoquer des maladies chroniques (inflammatoires, donc, puisque provoquées par Spike) ;
- ou bien favoriser cette même production de protéines spike uniquement dans des circonstances très particulières, comme des situations de stress – la production serait alors plus importante – et conduire à une maladie plus dure.
Le Dr McCullough craint par ailleurs que cette modification de l’ADN soit transmissible, c’est-à-dire que les cellules-mères les transmettent aux cellules-filles. Autrement dit, les gamétocytes (spermatozoïdes et ovules) pourraient être « chargés » de protéines spike, dont les bébés hériteront.
De la science-fiction ? Peut-être. Mais je rappelle que la théorie selon laquelle l’ARN de Pfizer-BioNTech pourrait être codé dans l’ADN humain était, il y a un an, considéré comme de la science-fiction.
C’est maintenant une vérité constatée in vitro.
Et les autres « vaccins » ?
Je n’oublie pas les recherches et le combat pour la reconnaissance des effets secondaires des sérums anti-Covid autres que Pfizer-BioNTech.
Ces combats sont difficiles, mais ils sont gagnables, comme celui mené par un habitant de Beaune ayant développé une perte d’audition et des acouphènes suite à une injection de Moderna.
Le partage de son expérience a eu un effet domino : sur son propre blog, près de 500 personnes ont témoigné de troubles de l’audition similaires après une injection anti-Covid.
Et à présent, il s’agit d’un effet secondaire officiellement reconnu par l’OMS, qui, il y a 6 mois, recensait 37 529 cas d’acouphènes ou de problèmes auditifs suivant une injection[4]. Chiffre probablement très en-dessous de la réalité.
Les acouphènes et les problèmes auditifs provoqués par les sérums anti-Covid faisaient, en octobre dernier, partie des nombreux effets secondaires auxquels les naturopathes Anne Portier et Laurent Fège apportaient des solutions dans une conférence très suivie, que vous pouvez revoir ici.
Portez-vous bien,
Rodolphe
[1] Aldén M, Falla FO, Yang D, et al. (2022). Intracellular Reverse Transcription of Pfizer BioNTech COVID-19 mRNA Vaccine BNT162b2 In Vitro in Human Liver Cell Line. Curr. Issues Mol. Biol. 2022, 44(3), 1115-1126.
[2] Bril F, Al Diffalha S, Dean M, et al. (2021). Autoimmune hepatitis developing after coronavirus disease 2019 (COVID-19) vaccine: Causality or casualty? Journal of hepatology 75 (1) : 222-224.
[3] Peter McCullough, Tweet 28.02.2022. https://twitter.com/p_mcculloughmd/status/1498125115942445058
[4] Verne A (12.04.2022). Acouphènes et vaccins contre le Covid : l’OMS confirme un lien, mais pour les victimes « les choses n’avancent pas. » France info. https://france3-regions.francetvinfo.fr/bourgogne-franche-comte/cote-d-or/beaune/acouphenes-et-vaccins-contre-le-covid-l-oms-confirme-un-lien-mais-pour-les-victimes-les-choses-n-avancent-pas-2524148.html
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Bonjour, merci pour cet édifiant article. Avez-vous entendu parler également d’une modification du groupe sanguin intervenant qq temps après l’injection ?
Excellent article qui vient compléter toutes les informations sur les effets secondaires et désormais les décès qui sont constatés.
Ces injections sont dangereuses!
https://crowdbunker.com/v/PA6YxhHvyr
Bonjour,
J’aimerais savoir si les vaccinés peuvent contaminer les non vaccinés quand on parle, quand on s’embrasse ou au cours d’un rapport sexuel protégé ou non. Il se dit que les VAX contaminent les non VAX, par la salive et autres de substance telle que de graphème, de la protéine SPIKE, voir l’ARN. Est ce avéré ou non? Et si oui, quelles sont les conséquences pour le NON VAX?
Merci pour votre retour.
Je me pause la même question, et ce qui est compliqué, c est que si c’est le cas, un non vax ayant eut des bisous, câlins etc.. avec une personne vax, s il y a un risque, bien est ce qu elle a le spike ( ou l’ ARN ) en elle, c a d comme si elle était vax?.. et j’ai eut le même réflexe en me disant niveau transfusion sanguine, vu qu il n’y a pas de traçabilité vax vs non vax, bien à éviter quoiqu’il arrive.. et vu qu on a pas d info, bien il vaut mieux prévenir que guérir.. avantage : ma santé avant tout ( je suis encore humain oufff ! Lol) inconvénients : libido, j ai envie d être père de construire, comment je fait 😂, on a dû tous se poser la question… La seule solution c’est de patienter si on a la conviction qu’il y a un risque de fou.. on est pas bcp a patienter mais patience= récompense dans la vie.. limite le critère numéro 1 dans le futur pour se poser en couple ce sera » non vax, n’ayant jamais embrassé ou + avec un vax » on est peu en France lol…
Bonjour,
Nous sommes québécois et avons reçu notre deuxième dose du vaccin Pfizer en juillet 2021 .Pendant un mois mon mari a ressenti une très grande fatigue puis a commencé à avoir des difficultés à utiliser ses bras .En mars dernier il a reçu un diagnostic de sclérose latérale amyotrophique.La neurologue lui dit qu’il n’y a aucun lien entre la SLA et le vaccin .D’après vous ,il y a coïncidence ou pas ?
Bonjour Rodolphe,
merci beaucoup pour cet article « Vers une maladie de spike chronique », qui est parfaitement documenté et qui pose les bonnes questions soigneusement occultées par les media et les autorités sanitaires des pays occidentaux, y compris en contradiction complète avec ce qui devrait résulter de l’exploitation des données de suivi épidémiologique ou de pharmacovigilance qu’elles publient elles-mêmes.
Merci encore pour les prises de position courageuses qui ont été et qui sont les vôtres, pour porter une réflexion ouverte et libre, en n’hésitant pas à affronter un mur hostile et militant de déni, qui qualifie de désinformation les efforts faits pour soulever les questions et prendre acte des faits dans toute leur complexité et leurs facettes éventuellement paradoxales ou contradictoires, alors que c’est justement cela qui permet de qualifier et d’évaluer la qualité d’une information.
Vous le faites en prenant des risques personnels, comme tout témoin de vérité en période de conflit de société aigu, et certainement au prix du sacrifice d’une tranquillité personnelle et d’une certaine facilité commerciale, au regard de votre activité professionnelle.
Car, dans de telles conditions d’occultation méthodique par la quasi-totalité des medias et de censure totale sur les réseaux sociaux de toute question posée n’allant pas dans le sens du narratif officiel, la vérité ne se fait pas jour bien rapidement. Elle progresse toutefois timidement, notamment sur le sujet objet de votre article, qui était, il y a encore six mois, totalement inabordable dans le débat public, à savoir celui des effets secondaires des injections expérimentales. On peut mesurer cette progression à partir de deux angles d’observation.
Tout d’abord, pour ce qui est du premier angle d’observation, le recul dont on commence, à présent, à bénéficier, permet de disposer d’indices convergents, tirés des données publiées par les autorités de santé elles-mêmes, que vous connaissez bien : les données de pharmacovigilance américaines, européennes ou israëliennes, attestent unanimement d’un nombre d’accidents graves et/ou létaux déclarés qui est inédit dans toute l’histoire de la vaccination, et dont la survenance dans des proportions 100 fois moindres aurait, et a, à elle seule, suffi, dans le passé, à arrêter immédiatement toute campagne de vaccination sous bénéfice d’inventaire (Sanofi en garde encore le douloureux souvenir, avec son vaccin contre la dengue aux Philippines) ; les très intéressantes données publiées (encore pour le moment …) par le NHS pour les compte des agences de santé se rattachant au système britannique, attestent d’un nombre extrêmement inquiétant de cas d’accidents graves et/ou létaux chez les adolescents ; les données extraites des premières livraisons par la FDA (Agence de santé fédérale US), sur injonction de la justice américaine, des résultats des essais cliniques réalisés postérieurement à l’engagement de la campagne d’injection mondiale en vue de la confirmation définitive de l’autorisation provisoire « accélérée et allégée » de mise sur le marché du « vaccin » Pfizer, ont confirmé l’étendue inouïe des effets secondaires de ce produit, tant en termes de variété d’affections constatées que de fréquence et de gravité (il s’agit là de l’exploitation des documents mêmes produits par Pfizer), … Je m’arrête là, pour les données brutes, sans même parler des nombreuses études allant dans le même sens qui sont produites, par des laboratoires du monde entier dans le silence absolu des media et des autorités de santé, depuis le début de la campagne mondiale d’injections de masse. Sans même parler non plus du constat désormais avéré à partir des statistiques des agences de santé des pays déjà cités, de la propension des personnes « vaccinées » à être atteintes du Covid et à en souffrir de formes graves dans des proportions désormais supérieures à la population non « vaccinée », au point que ces faits contraires au narratif officiel viennent, en Grande-Bretagne, d’amener le NHS à mettre fin à cette publication devenue par trop gênante, des données distinguant ainsi personnes « vaccinées » et personnes non « vaccinées » (après sa disparition statistique, à quand la disparition physique de ce groupe-témoin gênant ?).
En dépit pourtant de ce barrage massif, des signes timides d’attente d’un débat public sur ces questions tendent à éclore ici ou là, et cela constitue un second angle d’observation d’un certain progrès de la vérité : les démarches déterminées de divers sénateurs américains ou australiens vont ce sens ; nous sommes, à cet égard, en attente, en France, des conclusions de la commission d’enquête du Sénat sur ce sujet, dont on doit toutefois observer que, de façon troublante, celle-ci refuse de laisser publier les données dont elle dispose sur la mortalité toutes causes confondues de l’année 2021 en France, analysées selon le statut vaccinal ; en France toujours, le mouvement #ouestmoncycle, curieusement introuvable en le cherchant via des mots-clés à partir du moteur de recherche de Google, où des dizaines de milliers de femmes témoignent des effets secondaires très souvent graves qu’elles subissent à la suite des injections qu’elles ont reçues, contrairement aux affirmations lénifiantes et non documentées du ministre de la santé, et le début de retentissement à ce mouvement donné, parfois de façon inattendue (voir Cyril Hannouna), par certains journalistes isolés et immédiatement mis à l’index ; certaines actions en justice de victimes, dont on commence à entendre un peu parler ; la révélation de l’impact massif des effets secondaires réels sur la population allemande, à la suite de la révélation manifestement non prévues qui en a été faite par la compagnie d’assurance BKK, qui assure 11 millions d’allemands, et qui a prouvé que les données d’effets secondaires publiées par l’Office fédéral de la santé allemand étaient sous-estimées d’un facteur d’un au moins dix, et qu’on était en présence d’un problème sanitaire majeur ; toujours en Allemagne, la prise de position de l’ensemble des caisses d’assurance maladie, qui se sont unanimement prononcées contre l’obligation vaccinale que le gouvernement fédéral voulait faire passer au Parlement contre vents et marées, en ignorant, du reste, les manifestations quotidiennes (eh oui, quotidiennes), depuis près de deux mois, dans tout le pays, de centaines de milliers d’allemands qui y étaient opposés (sans naturellement que qui que ce soit en parle en France), ce qui a fini par aboutir à l’échec du projet porté par le Gouvernement et son rejet par le Bundestag, il y a trois semaines ; l’émotion en Australie devant l’embolie des hôpitaux qui n’arrivent plus à faire face au déferlement d’urgences liées à des accidents cardio-vasculaires affectant des populations de tous âges mais tout particulièrement les moins de 50 ans, depuis quelques semaines, et que les autorités sanitaires expliquent tranquillement en disant que c’est la vie, et que ça arrive (ah oui ? quand ? où ? depuis quand ? sur quelle planète ? …) ; et les questions qui commencent à émerger devant l’épidémie mondiale, depuis un an, de forfaits, d’accidents cardio-vasculaires, de résultats anormalement bas de sportifs de toutes nationalités dans toutes sortes de compétions, … On pourrait continuer.
Bien sûr, ces éléments qui devraient conduire les autorités sanitaires à s’interroger donnent lieu, depuis quelques mois, à l’émergence d’un contre-récit qui permet de détourner l’attention des questions qu’on pourrait poser sur les effets secondaires des injections expérimentales : c’est le récit des effets d’une nouvelle « découverte », celle de ce que seraient les effets du Covid long, ou les effets à long-terme du Covid court ou long, on ne sait pas encore trop : les éléments de discours politique et médiatique ne sont pas encore complètement réglés …
En revanche, on commence à produire des études dans le sens de ce contre-récit qui alimente le narratif officiel, dont une toute récente étude suédoise, qui postule l’existence à long-terme, notamment au plan cardio-vasculaire, du Covid lui-même (et non du vaccin, dont il n’est pas question dans cette étude). Un certain retentissement est donné à cette étude dans les médias, par contraste avec le silence assourdissant qui accompagne tout ce qui est énuméré plus haut et qui est de nature, au moins, à interroger le narratif officiel.
Sur l’usage des études, vous avez été l’un de ceux à précocement souligner comment sur la base d’un travail de modélisation de l’Imperial College de fin 2019, on a plongé la planète entière dans des confinements et des mesures inédites de restriction des droits fondamentaux et des libertés politiques. Cette étude annonçait des centaines de milliers de morts en Europe faute de prendre de telles mesures. Comme il s’est trouvé un fonctionnaire responsable dans un pays d’Europe, à savoir la Suède, qui n’a pas accepté de se ranger à des mesures qu’il jugeait exactement contraires à tout ce qu’on connait de ce qu’il faut faire dans des cas épidémiques depuis que l’épidémiologie existe, on a donc eu ainsi un cas témoin « imprévu », qui montre, sur la base de ce qu’il s’est passé dans un pays qui a agi autrement, que les mesures drastiques, économiquement destructrices et politiquement liberticides prises sur la base de cette étude, étaient, au mieux, inutiles.
De la même façon, c’est sur la base d’une étude publiée, au printemps 2020, par la revue The Lancet, relayée à grand bruit à l’époque par tous les médias, et qui venait opportunément contredire les résultats validés par toute la littérature scientifique antérieure, qu’on a pu disqualifier l’hydroxychloroquine, qui n’a donc pu être reconnue comme médication existante. Le fait que The Lancet ait dû, un an plus tard, retirer cet article, et présenter ses excuses après avoir reconnu qu’il s’agissait d’un cas de fraude, et que ses conclusions n’avaient aucune base valable, n’a eu non seulement aucun écho auprès des medias qui s’étaient emparées desdites conclusions pour participer à la disqualification des positions défendues, en France, sur ce sujet par le professeur Raoult, mais ce mea culpa du Lancet n’a eu non plus aucun effet rétroactif sur la décision qui avait été prise par l’OMS, de retirer l’Hydroxychloroquine de la liste de médicaments potentiellement éligibles pour traiter les cas de Coronavirus sur des bases éprouvées, sur la seule base de cette étude tardivement reconnue comme frauduleuse.
Il en a été de même pour l’Ivermectine, dont toute la littérature scientifique mondiale et jusqu’à des essais cliniques à grande échelle réalisés en contexte de Covid (étude clinique publiée en février 2022 sur 200 000 personnes au Brésil, ce qui est rare à cette échelle, pour un médicament), prouve l’efficacité sans égale et l’absence totale de tout danger de quelque nature qu’il soit (à la différence de ce qui avait, en plus, été reproché à l’Hydroxychloroquine, à juste raison d’ailleurs, dans des cas de prescription aberrante). En dépit de l’unanimité favorable de la littérature mondiale sur l’Ivermectine, une méta-étude a été publiée en 2020, par un scientifique reconnu intervenant pour le compte d’Unitaid (organisme soutenu par la Fondation Bill et Melina Gates), le Dr Andrew Hill. Ce scientifique, jusqu’à la publication des conclusions de son étude, a multiplié les articles attestant de l’efficacité de l’Ivermectine constatée par toute la littérature mondiale, et le contenu de sa méta-étude elle-même atteste de ces résultats : jusqu’à arriver à la conclusion de cette méta-étude … qui dit le contraire. Le Dr Hill n’a jamais pu expliquer comment il arrivait à une conclusion diamétralement opposée à toute la matière qu’il avait collectée et analysée. En revanche, il a reconnu avoir été influencé, sans jamais accepter de révéler par qui, et, dans l’intervalle, l’examen des méta-données attachées à son étude, a permis de confirmer ce qui était probable, à savoir que ses conclusions ont été rédigées par une autre main que la sienne. C’est pourtant sur cette base que l’Ivermectine a été classée comme substance dont l’efficacité n’a pas été prouvée (on n’a quand même pas réussi à complètement « avoir sa peau » en la déclarant potentiellement dangereuse comme l’hydroxychloroquine), et que les praticiens qui la prescriraient pour traiter le Covid ou pour en promouvoir ou en défendre l’usage peuvent être, et sont poursuivis pour « charlatanisme » et suspendus ou radiés de l’ordre des médecins.
Pour nous, européens, qui, avons appris de la Commission européenne, que, sur la base de 2% d’études commandées par l’industrie chimique et qui disaient le contraire de 98% des études mondiales réalisées, elles, sans conflit d’intérêt, le Glyphosate ne crée aucun dommage à l’environnement ou que les néoniconinoïdes ne présentent aucun inconvénient pour la biodiversité, nous n’avons aucune raison de nous étonner. En revanche, du point de vue de la manifestation de la vérité, il importerait à présent de s’interroger un peu sur des études, même suédoises, opportunément produites à l’appui du narratif officiel et obligeamment relayées à l’envi par la sphère médiatique, en ce qui concerne la révélation soudaine d’effets secondaires attribués aux suites à long-terme du Covid, alors que toutes les données de pharmacovigilance et les données cliniques des fabricants du « vaccin » elles-mêmes tendraient à interroger avant tout les « effets secondaires » des injections expérimentales, au premier rang desquelles les affections cardiovasculaires (myocardites, infarctus du myocarde, AVC, thromboses, …). La prudence élémentaire et toutes les pratiques antérieures en matière de santé conduiraient, en tout cas, à au moins se poser la question, à conduire des investigations dans ce sens, à assumer le débat qui en résulterait, et à gérer un processus de décision dans la transparence. Et non pas à continuer à occulter les informations qui ne nourrissent pas le narratif officiel et à museler ou à rendre inaudibles ceux qui le mettent en question.
Et c’est là que, suivant attentivement ce que vous faites depuis le début de cette crise dont vous avez contribué à montrer en quoi elle n’a rien de vraiment sanitaire, je viens aujourd’hui vous faire état de quelques questions que j’ai, et d’un certain trouble qui m’envahit, à la lecture de diverses de vos lettres et publications depuis quelques semaines.
Je vous y vois, en effet, donner un écho particulièrement appuyé, en lien avec plusieurs autres acteurs qui travaillent en bonne intelligence avec vous, aux conclusions de cette fameuse étude suédoise. J’en prends pour exemple la Lettre alternative bien être du 19 avril 2022, en lien avec une publication de Sébastien Duparc intitulée : « AVC quels sont les risques » ; ou encore la Lettre alternative bien être du 18 avril, interpelant ainsi : « Pourquoi ce cycliste en bonne santé a-t-il fait un malaise cardiaque ? » ; ou encore le 13 avril, en relais de Sebastien Duparc : « Covid : pour ne pas vous effondrer d’un coup » ; cela fait, par ailleurs, écho à la lettre Santé non censurée de Thibaut Masco, qui publie, le 16 avril, un « message d’alerte sur les risques à long-terme de l’infection au Covid ».
Toutes ces publications s’accordent pour sembler soudain découvrir que quelque chose d’anormal se passe, et l’attribuer très naturellement, comme l’ensemble de la presse mainstream, et sans qu’il y ait matière à interroger quoi que ce soit d’autre, à une découverte inattendue, celle des effets secondaires à long-terme du Covid lui-même. Vous comprendrez bien qu’il ne s’agit pas pour moi ici de dire qu’il ne conviendrait pas d’examiner l’hypothèse de l’existence de conséquences à long-terme qui pourraient résulter d’une infection par le Covid contractée antérieurement par une personne. Elles sont peut-être réelles.
Mais si cela devait opportunément, et « en même temps », servir à dispenser de s’interroger sur les conséquences des effets secondaires des injections expérimentales, dont la révélation résulte d’un très gros travail d’une multitude d’acteurs, dont vous-même, qui luttent seuls contre les gouvernements et les institutions sanitaires pour imposer dans le débat des questions légitimes sur ce sujet majeur, vous admettrez, j’imagine, que ce serait fâcheux, et difficilement compréhensible venant desdits acteurs.
Je trouve qu’il conviendrait à tout le moins d’être neutre dans l’approche : car faire ce que vous faites, c’est-à-dire, en l’occurrence, proposer des approches alternatives de prévention des risques cardio-vasculaires, dans un contexte où on constate une recrudescence de ceux-ci, ne nécessite pas commercialement de chercher pour autant à rebondir sans nuances sur une étude qui prend parti sur une question très importante où l’accès au débat est entravé, et qui tend innocemment ou pas, à permettre à ceux qui souhaiteraient l’instrumentaliser, de détourner l’attention d’une question centrale, à savoir comprendre ce qu’on essaie, depuis un an, d’injecter obstinément à l’humanité en dépit de tous les signaux d’alerte convergents recueillis dans tous les pays qui ont un suivi de ces questions, et contre toutes les procédures sanitaires antérieures et tous les principes de précaution dont on nous rebat les oreilles à l’envi pour un lot de paquets de pâtes contaminées.
Voilà donc l’objet de mon trouble exposé. N’y voyez aucune mise en cause ou procès d’intention de ma part, dans un contexte qui est particulièrement complexe et tendu. Mais je serais vraiment preneur d’une réponse de votre part. Merci d’avance.
Merci Loïc pour votre très interessant commentaire. Mais apparement vous n’avez obtenu aucine réponse. Dommage!
Bonjour,
Cet article est particulièrement intéressant ! Existe-t-il un livre sur ce sujet précis … avec des conseils …
Juste un petit détail, comment réfléchir sur l’éventuel apport sanguin lors d’opération pour des personnes noninjecte ? Très cordialement merci beaucoup
Bonjour, je suis entièrement d’accord avec vous et depuis le début des injections je regarde le suivi de certains scientifiques qui m’on convaincu de ne pas accepter cet ARN ! Mais’pourquoi les hôpitaux exigent ils encore cette injection pour rentrer dans leur établissement ? Ce sont des médecins je ne comprends pas pourquoi ils acceptent cela, sachant que l’ARN peut être plus dangereux qu’autre chose! Comment peut on faire comprendre aux médecins que si il y a doute il ne faut pas l’imposer !
Bonjour, Ne serait-ce pas une tentative de génocide mondial mis en œuvre par les élites américaines dont bill gates et autres ??? D’autant plus qu’il y a bien d’autres cochonneries cachées dans les injections !! Dixit La Quinta Columna, une association espagnole qui enquête depuis plus de 2 ans ! Vidéos consultables sur Crowdbunker, Odysee ou Rumble !
Depuis quelques années déjà, j’ai eu des informations sur le projet de ces injections..
et de leur finalité ….Ce qui se passe depuis le début de cette pseudo pandémie, n’est que la confirmation….Et ce n’est pas expérimental….C’est irréversible dés la première injection….C’est que l’on m’a appris aussi, c’est que ces injections ont un large spectre de méfaits…..
et ….tout les autres vaccins que j’ai déjà reçus:bcg,tabdt…?
Beaucoup de personnes n’arrivent pas a prendre conscience, que ce ne sont pas des vaccins, mais des injections qui n’ont rien avoir avec des vaccins tels qu’on connait…..
Mr Bacquet, vous déclarez « L’ADN humain bel et bien modifié par Pfizer ».
1/ Il s’agit d’une étude « in vitro », qui ne laisse pas préjuger de la transcription inverse « in situ ».
2/ Vous parlez du vaccin BNT162b2 (Pfizer, etc.), mais vous omettez de signaler que, selon ce même article (et quelques autres), l’ARN du virus SARS-CoV-2 LUI-MÊME peut intégrer le génome humain !
3/ Ceci dit (et surtout), même publié dans les règles, un article scientifique n’est pas parole d’évangile. La recherche est pleine de pièges. Tout résultat est, comme il se doit en science, fortement soumis à débat, contrôle, contestation, voire réfutation pure et simple, avant d’éventuellement donner lieu à un consensus et d’acquérir le statut de « fait scientifique ».
4/ Dans le cas présent, plusieurs articles postérieurs remettent effectivement en cause l’article que vous citez. Peut-être vous en êtes-vous aperçu, mais que vous le passez sous silence pour pouvoir donner libre court sans délai à votre quête du sensationnel catastrophiste à tout prix. Votre « si ses résultats sont confirmés » n’est qu’une tournure de style, puisque suivi d’un « maintenant que cette découverte a été effectuée » (!) ou encore d’un « c’est maintenant une vérité constatée in vitro » (!) et d’un long délire spéculatif hors de propos, qui ne manque pas de se référer à un autre sensationnaliste patenté… De grâce, laissons aux chercheurs le temps nécessaire. Le chien aboie, la caravane passe…